
De janvier 2025 à juillet 2025, j’ai travaillé chez Uni-médias, notamment pour le magazine Parents et ses réseaux sociaux.
Au sein du pôle vidéo, en tant que freelance motion designer seul, j’étais responsable du développement et de la mise en place des outils nécessaires — création d’assets, organisation des projets, arborescences, jingles — afin de structurer et optimiser les processus internes liés au montage vidéo et de répondre efficacement aux besoins de l’équipe.
Au sein du pôle vidéo, en tant que freelance motion designer seul, j’étais responsable du développement et de la mise en place des outils nécessaires — création d’assets, organisation des projets, arborescences, jingles — afin de structurer et optimiser les processus internes liés au montage vidéo et de répondre efficacement aux besoins de l’équipe.
Mon rôle consistait à garantir un habillage vidéo fluide et facilement accessible, facilitant ainsi le travail des monteurs au quotidien, tout en automatisant leurs workflows pour gagner en rapidité et en cohérence.

PARENTS - PROJET - Organisation du projet After Effects (d'habillage vidéo)

PARENTS - CARTON "Tu détestes "- Créé lors de la mise en place de la nouvelle charte réseaux sociaux
L’importance de l’organisation dans un projet After Effects – Un levier de productivité en travail d’équipe
Dans un environnement de production audiovisuelle, l’organisation rigoureuse d’un projet After Effects ne relève pas d’un simple confort de travail : c’est un impératif stratégique. Lorsque plusieurs intervenants — monteurs, motion designers, superviseurs ou clients — doivent accéder à un même fichier projet, une structure claire et cohérente devient essentielle pour garantir la fluidité, la compréhension et l'efficacité du travail.
Structure de dossiers, nommage des calques, lisibilité de la timeline, rigueur dans les précompositions ou usage réfléchi des expressions : autant de pratiques qui transforment un fichier complexe en un environnement de travail lisible, prévisible et collaboratif. À l’inverse, un projet désorganisé ralentit considérablement les échanges : il oblige chaque intervenant à déchiffrer les intentions du précédent, à chercher des éléments éparpillés ou à corriger des erreurs liées à des duplications inutiles ou des assets manquants.
Structure de dossiers, nommage des calques, lisibilité de la timeline, rigueur dans les précompositions ou usage réfléchi des expressions : autant de pratiques qui transforment un fichier complexe en un environnement de travail lisible, prévisible et collaboratif. À l’inverse, un projet désorganisé ralentit considérablement les échanges : il oblige chaque intervenant à déchiffrer les intentions du précédent, à chercher des éléments éparpillés ou à corriger des erreurs liées à des duplications inutiles ou des assets manquants.
" Réduire les erreurs, faciliter les modifications, gagner du temps. "
Une bonne organisation permet notamment :
- Un onboarding rapide : un collaborateur qui ouvre un projet bien structuré comprend en quelques minutes la logique du montage, identifie les compositions principales, les assets et les effets utilisés, et peut intervenir sans avoir à "nettoyer" ou reconstituer le projet.
- Une meilleure réactivité client : lorsqu’une modification urgente est demandée, il devient possible de cibler rapidement le bon calque ou la bonne séquence, sans perte de temps à naviguer dans un projet fouillis.
- Une réduction des risques d’erreurs : un projet bien organisé limite les calques orphelins, les doublons inutiles, les conflits de version ou les erreurs de rendu.
- Un archivage efficace : un fichier final bien rangé, avec ses assets centralisés et ses versions datées, garantit une reprise facile du projet, même plusieurs mois plus tard.
- Une meilleure réactivité client : lorsqu’une modification urgente est demandée, il devient possible de cibler rapidement le bon calque ou la bonne séquence, sans perte de temps à naviguer dans un projet fouillis.
- Une réduction des risques d’erreurs : un projet bien organisé limite les calques orphelins, les doublons inutiles, les conflits de version ou les erreurs de rendu.
- Un archivage efficace : un fichier final bien rangé, avec ses assets centralisés et ses versions datées, garantit une reprise facile du projet, même plusieurs mois plus tard.
L’organisation d’un projet After Effects ne relève donc pas uniquement du bon sens ou du professionnalisme individuel. Elle constitue un véritable gain de temps mesurable dans le travail en équipe, et s’inscrit comme une norme implicite dans toute production de qualité. Dans un contexte de travail collaboratif, un projet bien structuré devient un langage commun, au service de l’efficacité collective.

PARENTS - EFFETS - JINGLE PARENTS EXTRA-ORDINAIRES - Créé lors de la mise en place de la nouvelle charte réseaux sociaux

PARENTS - VIEWPORT - JINGLE PARENTS EXTRA-ORDINAIRES - Créé lors de la mise en place de la nouvelle charte réseaux sociaux
Compiler les effets pour les synthés : un gain de temps structurel
Avec une bonne connaissance d’After Effects, il est possible de styliser un synthé en appliquant directement plusieurs effets sur un seul calque texte. Cette approche permet de centraliser les modifications et de garder un projet lisible et léger.
À l’inverse, créer des calques de forme sur mesure pour chaque élément rend chaque ajustement plus long et répétitif, surtout lorsqu’un client demande des changements tardifs.
Ma solution est la plus rapide : elle évite les manipulations inutiles, réduit drastiquement le temps passé sur les retours client, et garantit une meilleure stabilité du projet dans la durée.

PARENTS - VIEWPORT - SYNTHÉ - Automatisation des contours du texte (compilation d'effets)

PARENTS - COMPOSITION - SYNTHÉ - Automatisation des contours du texte (compilation d'effets)
Organiser ses calques : trouver le bon équilibre
Dans After Effects, une bonne organisation des calques dans une composition est essentielle pour travailler efficacement. Il s’agit de minimiser le nombre de calques tout en conservant suffisamment de détails pour garder un bon confort de manipulation.
Un workflow formé privilégie le regroupement des éléments cohérents en précompositions et évite les empilements excessifs. Cela permet de maintenir une timeline lisible, d’accélérer les ajustements, et de réduire les risques d’erreur lors des modifications.
Trouver ce juste milieu entre simplicité et précision est une compétence clé pour un motion designer afin d’assurer fluidité et qualité dans la production.